CE QUE JE CROIS

20 janvier 2013

Confession d’un chrétien (Partie 2)

  Ce qui va suivre est le fruit d’un long parcours où j’ai reçu,

 vérifié l’enseignement de l’ÉGLISE.  Cela m’a permis de
découvrir que devenir pleinement HOMME, s’accepter
totalement était la source d’une joie sereine et profonde, non
pas narcissique, mais connectée à DIEU (Père, Fils et Esprit-Saint) qui aime chacun de nous d’un Amour unique. Cette foi ou son expression tient en 3 chapitres :

1)  L’homme n’est pleinement homme qu’en référence à Dieu.

mais quel dieu ?

2) Le Dieu, Père, Fils et Esprit-Saint qui a nom AMOUR ou
TRINITÉ

3)   Comment Dieu propose-t-il à l’homme d’être sa référence?

C’est l’histoire de Zachée (dans l’évangile de Luc…)

Voilà notre Dieu, revenons au chapitre 1 :

« L’homme n’est pleinement homme qu’en référence à Dieu » : la Genèse résume les premiers temps de l’homme crée pour aimer, mais libre de répondre à l’amour du Père qui lui est proposé, c’est le fameux épisode de la « pomme » : via le serpent, l’homme apprend que s’il mange cette « pomme », il deviendra l’égal de Dieu. Voilà le péché des origines, c’est la dés-unité qui s’installe dans le monde : l’homme refuse d’aimer et de reconnaître son Créateur et Père et c’est tout le contenu de l’Ancien Testament (déluge, Babel… et l’appel d’ABRAM qui devient ABRAHAM, les prophètes). Dieu cherche alors à retrouver l’amour de son peuple.

Par ailleurs, l’homme animal ou singe évolué est pétri de cette animalité, enrichie de l’intelligence (comme le dit Yves COPPENS, « il y a eu un premier couple qui a su qu’il savait »), les humains ont cherché des le départ une référence à un au-delà, et ce, partout où ils se sont installés. Ils se sont bâti une ou des images qu’ils ont appelés « dieux » (voir l’Égypte; la Mésopotamie; les Bouddhas, les hindous, les japonais, les indiens etc), puis un jour Dieu se révèle à ABRAHAM au chêne de Mambré comme « Trinité » (3visiteurs, à la fois, 1 et 3 dit le texte). L’homme est donc libre d’aimer ou de refuser d’aimer se laissant porter par ses instincts : égoïsme, narcissisme… Mais il y a toujours, d’une manière parfois subconsciente, la recherche d’un créateur ou d’une autorité non discutable, référence pour un vivre ensemble (fraternité pour la France… sans pouvoir faire le pas qui nous reconnaîtrait  fils d’un même Père, donc frères), nécessité d’une morale ou d’une éthique… Tout l’homme est résumé dans ce texte de Saint-Paul: « je fais tout le mal que je ne veux pas faire et ne fais pas le bien que je voudrais faire ».

Depuis le Christ, la Trinité a toujours été au cœur de l’Église mais pas toujours de manière visible pour les chrétiens, les clercs (le clergé) et les non-croyants. Quelques exemples :

  •  les Francs-maçons (nés en Angleterre) au départ faisaient référence au Dieu des Chrétiens tel qu’il leur était proposé,il était la clef de voûte de leur comportement moral,
  • les révolutionnaires français et le culte de l’Être suprême, garant d’une morale,
  •  Jules Ferry et sa haute et respectable conception de la laïcité, et tous les instituteurs qui ont bâti l’école laïque ont gardé scrupuleusement la morale chrétienne, mais l’ont coupée de ses racines. Après 3 ou 4 générations, on ne sait plus pourquoi, appliquer ces principes « moraux ».
  •  l’homme se voulant l’égal de Dieu veut évidemment décider « librement » (sic) de la procréation (avortement, assistance médicale à la procréation, le fameux préservatif), de sa mort (euthanasie). Ce n’est pas le Pape  ou l’Église qui dit que ou ne dit pas que, mais ce sont chaque couple, chaque homme, chaque femme qui après s’être OBJECTIVEMENT informés décident librement de leur comportement sous le regard de Dieu (Amour et Trinité), chaque être humain est unique aux yeux de Dieu, son histoire est unique et la réponse ne peut être qu’unique.
  •  l’intronisation de notre nouveau président (mai juin 2012) : comment ne pas voir une référence subconsciente à Dieu dans cet hommage à Marie Curie, à Jules Ferry et ce « Te Deum » de Charpentier dans cette cathédrale laïque que constituait le grand salon de l’Hôtel de Ville de Paris (« Te Deum » veut dire célébrer et rendre grâce).
  •  tout homme qui vient en aide à  ses semblables est en référence à Dieu (s’il est sincère) et l’Esprit Saint agit par lui, même si par son histoire personnelle il n’en a aucune conscience.
  •  cette référence à DIEU peut surprendre tellement pour certains nous sommes imprégnés de cette construction de l’homme par l’homme, l’hypothèse « Dieu » n’étant qu’une possibilité dans la panoplie des possibilités offertes, ce fut ma première réaction à la lecture du « Notre Père » de BENOIT XVI, où j’ai vraiment pris conscience de cette référence fondamentale à DIEU.
  •  un mot sur l’Islam (syncrétisme entre le judaïsme et la chrétienté vue sous l’angle de l’arianisme et du nestorianisme. Cette voie est une voie vers Dieu quand elle est sincère et non croisade. Nous, chrétiens, avons malheureusement connu les schismes, l’inquisition, et les guerres de religions, mais depuis ASSISE en 1986 tous ceux qui croient  en un Dieu unique se rassemblent pour prier séparément mais simultanément leur image de DIEU, mystère de la TRINITE.

 Jacques PENON

3 réponses à CE QUE JE CROIS

  1. Mutton on 21 janvier 2013 at 3 h 12 min

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