Un Dieu qui console

13 octobre 2014

«  Esprit Saint, mets en moi les sentiments qui sont dans le cœur de Jésus. Ouvre mon cœur à la dimension du monde. Aime avec mon cœur tous ceux que je rencontre pour les écouter comme Jésus, et pour qu’à travers moi Jésus puisse toucher leur cœur et leur apporter la guérison de toute désespérance. Esprit Saint, fais de moi un instrument, toujours disponible, que tu puisses utiliser quand tu veux, comme tu veux, avec ta Puissance d’Amour pour que le Père soit glorifié par tes œuvres.

 Esprit Saint, tu conduis l’Église. Tu façonnes l’Église. Que je sois un membre toujours uni à elle, pour œuvrer en elle, travaillant par mes actes à son unité perdue. Ami, mon frère, ne dis jamais  » je ne vaux rien, je ne suis rien  » car tu vaux la Vie de Dieu, le sang de Dieu. Tu es membre du Christ, Temple de Dieu. Tu as du prix aux yeux du Créateur, tu es son enfant. Crois-tu que cela fait plaisir à un Père d’entendre un de ses enfants répéter  » Père je ne vaux rien, je ne suis rien  » ? N’oublie pas que Dieu est ton Père toujours prêt à pardonner, à t’accueillir comme l’enfant perdu et retrouvé. Pour Dieu, tu n’es jamais indigne ou méprisable. Tu es son enfant. Il t’aime toujours. Dis-lui  » Merci Père pour ce que je suis « . Cela le comblera de joie. Dis-lui aussi  » Père, Je t’aime  » tu Le combleras de bonheur et Lui te donnera tout ce qu’Il a, tout ce qu’Il est. Il ne peut que se donner… ».

 

Poète anonyme du XXème siècle

Les commentaires sont fermés.